Le bégaiement, n’est ni une tare, ni une maladie.
On estime à 1% le nombre de personnes atteintes par un problème de bégaiement,
soit plus 600.000 personnes.
Bégayer n’est pas une tare, pour preuve le nombre de bègues célèbres :
Moïse, Aristote, W. Churchill, Napoléon 1er, I. Newton, Darwin, Marilyn Monroe,
Bruce Willis, Boris Becker, Gérard Depardieu…
Mais assurément un handicap dans la vie quotidienne.
Il est vécu comme un enfer au quotidien.
Les bègues se sentent incompris.
La « précarité » des syllabes les décourage jour après jour, même les enfants se retrouvent en difficulté scolaire faute de pouvoir s’exprimer facilement en classe.
Un bègue est tout simplement doté à la naissance d’une hyper sensibilité, d’une forme de générosité, qui se répercutent au fil du temps sur son élocution.
Le bégaiement n’est pas héréditaire.
Il est tout simplement une forme de mimétisme, le besoin de s’identifier à quelqu’un, peut-être de par son originalité verbale, qui nous amène, bien malgré nous, à l’imiter.
De par ce mimétisme, au fil du temps, notre respiration perd ses repères, donc elle s’inverse, ce qui nous entraîne, au fil des jours à nous exprimer en apnée, c’est-à-dire en fin d’expiration.
Christian Boisard
Commentaires (1)
Ben
/ 20 octobre 2018
Je conseille à toutes les personnes souffrant de bégaiement De suivre ce stage qui vous libére et vous permet de vous exprimer normalement Et tout cela dans une super ambiance Merci Christian