Le bégaiement peut prendre le dessus sur l’esprit comme par exemple au réveil, avant même de prendre conscience de soi-même. Dans ce cas de figure, aucune gêne n’est apparente et immédiate car l’inconscient ne transmet pas l’information concernant le bégaiement.
Au fil des minutes, en se réveillant, l’individu devient progressivement conscient de cette gêne et en souffre à nouveau. On peut par conséquent déduire qu’il est possible d’oublier le bégaiement si celui-ci n’est pas transmis du subconscient au conscient.
Généralement une gêne quelconque devient peu à peu une habitude influencée par le subconscient et le conscient. Par conséquent, même des thérapies de voyage ne permettent d’oublier que temporairement ce trouble. Dans le cas où l’inconscient subirait un traumatisme amnésique, il est possible que cette gêne quotidienne s’efface et que l’individu ne soit plus conscient d’être sensible au bégaiement.
Certaines méthodes comme par exemple l’hypnose et l’auto-hypnose peuvent permettre de gérer partiellement cette difficulté, mais cela entraîne un déséquilibre du comportement, une sensation d’être ailleurs, de bien-être et par conséquent un oubli de certains points et repères sensibles à propos de soi.
Cette thérapie n’est pas négligeable, à condition de l’inculquer avec l’aide de méthodes spécifiques à la gêne que l’on prétend vouloir faire disparaître.
Tout avenant à un sommeil de relaxation factice de repos et de réparations regroupe plusieurs facteurs, donc il est nécessaire d’accoupler le handicap à la matière, à un objet qui aurait pour mission de par sa forme et sa couleur, de faire régresser le parasite vers l’inculcation d’une disparition soumise.
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